L’année académique a bien commencé, les cours ont démarré, les projets tutorés ont été lancés, les mémoires des M2 ont été initiés, les masterclasses ont été repris.
Nous voici déjà en vacances, le moment donc de donner la parole à nos anciens. Aujourd’hui, Caitline Grammont, qui est une diplômée de 2015 employée peu de temps après l’obtention de son diplôme.
Diplômée du master IEC en 2015, mes études ont été marquées par un le goût des livres et de la littérature. Je suis passée par deux années de classes préparatoires (ULM), puis une Licence 3 et un Master 1 en Lettres Modernes Appliquées à la Sorbonne. J’ai choisi avec dessein d’intégrer le M2 IEC pour la pluralité des enseignements. Intéressée par l’édition et la communication, j’ai souhaité évoluer dans ce secteur sans pour autant me fermer des portes. En effet, cette formation allie des cours théoriques et des cours de professionnels sur la communication, le marketing, le droit, etc. qui m’ont permis d’apprendre concrètement un métier, de mettre en pratique des compétences. Je souhaitais réellement intégrer ce master encore jeune et très prometteur, qui ne cesse de s’adapter et de s’améliorer en fonction des retours des étudiants et de leurs souhaits.
Une vraie confiance est accordée aux étudiants et c’est agréable de se sentir écoutés ! J’ai eu l’opportunité de travailler lors des projets tutorés, à l’élaboration d’un livret de communication destinés aux étudiants souhaitant intégrer le nouvel IEP Sciences Po de Saint-Germain-en-Laye. L’apprentissage est un vrai plus également ! Mon expérience comme assistante attachée de presse chez Belfond a été très formatrice.
J’ai beaucoup appris et grâce à l’expérience acquise dans ce master, je suis aujourd’hui consultante en relations médias en CDI chez Hopscotch, une agence de relations publics. J’ai été embauchée deux semaines après avoir soutenu mon mémoire sur les mutations du métier d’attaché de presse. Je travaille sur des clients variés, français et anglais, notamment sur des problématiques institutionnelles, B2B et B2C mais aussi sur leur réputation sur les réseaux sociaux.