Jan 23, 2019 | actualité, blog etudiant, Communication, Culture, Interculturel, Internet, master iec, médias, Multimédia, Tout l'actu |
À propos de l’intervenant Franco-Britannique, Marc Ferrant a travaillé pour le groupe automobile PSA à la communication et notamment en tant que responsable de la presse internationale et des relations publiques. Spécialiste de la communication de crise, Marc Ferrant est consultant freelance en relations interculturelles ; il travaille avec les médias financiers internationaux et aide à la rédaction des discours des PDG d’entreprise. En plus de ses compétences en tant que consultant, Marc Ferrant est professeur de langue et civilisation allemandes, formateur en langue anglaise en environnement professionnel, traducteur, transcréateur et consultant en communication interculturelle. Il parle et écrit également plusieurs langues : anglais, allemand, espagnol, italien et russe. L’aspect multiculturel de son profil, ainsi que les nombreuses langues qu’il maîtrise lui permettent ainsi de s’adapter à différents environnements de travail et de gérer des projets éditoriaux multilingues. Gestion de crise : analyse, concepts et théories Marc Ferrant a tout d’abord demandé aux étudiants de donner des exemples de crises majeures survenues récemment. De nombreux cas ont été évoqués, parmi lesquels celui des Gilets Jaunes, des attaques terroristes, de la crise migratoire, du Brexit, du changement climatique, de l’affaire Carlos Ghosn. À partir de ces exemples, les étudiants ont pu définir les différents types de crises auxquelles un État ou une entreprise peuvent être confrontés : ces crises peuvent être d’ordre politique, économique, diplomatique ou encore écologique. Marc Ferrant a ensuite évoqué les différentes situations de crise auxquelles il a dû faire face dans sa vie professionnelle, en tant que communiquant. La première crise majeure à laquelle il fut confronté survint alors qu’il travaillait pour le groupe automobile...
Jan 11, 2019 | actualité, blog etudiant, Culture, Edition, Internet, master iec, Multimédia, Nouvelles technologies, Tout l'actu |
Le 7 décembre a eu lieu la masterclass portant sur l’application « Booktubers » sur le site de Gennevilliers. Pour l’occasion, notre invitée et la créatrice de cette plateforme, Céline Blaché, est venue pour nous la faire découvrir et nous raconter la première édition du Prix Littéraire de l’Imaginaire Booktubers (PLIB). Présentation de Céline Blaché – Photos : Alixe Desseix Au commencement de cette aventure, Céline Blaché était à la recherche de béta-lecteurs pour ses textes. Ses recherches l’ont menée à la découverte de la communauté des booktubeurs et de leurs univers aussi variés que nombreux. Elle s’est alors rendu compte de la difficulté de trouver certains booktubeurs, vu qu’il n’existait aucun site pour les répertorier. C’est ainsi qu’elle a décidé, en 2015, de créer une application pour tous les réunir et faciliter les recherches à leur sujet, mais également sur leur travail, leurs communautés, leurs créations… L’application a pour but de réunir tous les booktubeurs au même endroit afin d’éviter de les chercher pendant des heures. Maintenant BooktubersApp ne répertorie pas seulement blogueurs et booktubeurs, avec la création du PLIB, l’application s’est ouverte aux bookstagrameurs, qui viennent agrandir la communauté des blogueurs littéraires. L’application cherche aussi à donner envie de lire et veut mettre en avant l’utilité des Booktubers. Elle est disponible sur Android, iOS et sur le site web BooktubersApp qui est responsive pour plus de facilité d’utilisation sur les différents supports technologiques. Il y est possible de partager des vidéos, de consulter des profils de blogueurs, d’éditeurs et de re-partager des informations ou des liens. L’application et le site ne sont pas lucratifs...
Jan 4, 2019 | actualité, alternance, blog etudiant, Communication, Edition, Graphisme, Internet, logiciel, master iec, médias, Multimédia, Nouvelles technologies, Photographie, site, Tout l'actu, Vie étudiante |
La dernière masterclass de novembre présentait les défis que pose une création d’entreprise. Ylan de Raspide et Sylvain Ceccaldi sont les deux fondateurs de Studio Jiminy. Ylan de Raspide est le directeur éditorial de la maison. Il était auparavant responsable éditorial chez Pearson France, et parallèlement professeur à l’Université de Cergy-Pontoise. Sylvain Ceccaldi, auparavant freelance dans le domaine informatique, est en charge de la création web-design. Une maison d’édition multimédia : Studio Jiminy Fondé il y a 4 ans, Studio Jiminy est un environnement d’apprentissage en ligne de la photographie “une maison d’édition multimédia qui aborde de façon originale et enthousiaste la pratique de la photographie” comme le disent ses fondateurs. L’objectif est de choisir des photographes qui sont reconnus dans leur domaine d’expertise (photo de paysage, de rue, animalière…), et d’aller sur le terrain en immersion avec eux, voir comment ils réalisent leurs œuvres (en mode making off). Le but est de comprendre l’état d’esprit des photographes, et tout ce qui ne s’apprend pas dans un studio. Chaque immersion permet de vivre les coulisses de création de chaque photographe suivi. Ces immersions, appelées “masterclass”, forment les cours proposés par Studio Jiminy. Le support vidéo est parfois accompagné de fiches documentaires et explicatives qui viennent apporter une plus-value à la présentation. Il faut compter environ deux mois de travail pour créer une nouvelle masterclass. Chacune d’elles présente le regard d’un spécialiste sur un grand thème de la photo. C’est la ligne éditoriale défendue par le studio : “une conviction : la photographie est moins affaire de technique que de qualité du regard ; et une volonté...
Déc 9, 2018 | actualité, blog etudiant, Communication, Culture, master iec, médias, Photographie, site, Tout l'actu, Vie étudiante |
C’est en salle 18 sur le site de Gennevilliers que s’est tenue la masterclass « Image et édition », animée par Monelle Hayot. L’occasion a été donnée aux étudiants du master IEC de prendre conscience du rapport qu’ils entretiennent aujourd’hui avec la photographie et plus spécifiquement avec l’image. Le constat semble être sans appel : pour l’intervenante, le temps de la photographie est désormais révolu et a cédé sa place à l’image, nouveau média en puissance. Les photographies, à l’époque del’argentique, étaient réelles. Mais à l’ère du numérique, il n’est plus possible de parler de photos mais d’images. Et l’image, contrairement à la photographie, peut être modifiée. « Aujourd’hui nous ne sommes plus dans la photo mais dans l’image. Elle n’est plus la réalité et a besoin d’être décryptée. » Mais alors, si l’image a pris le pas sur la photographie et qu’elle ne montre plus la réalité, quel est son rôle ? Photo prise par les M1 chargés de la communication Grâce à deux projections photographiques, elle a tenté de présenter le rôle qu’occupe à présentl’image dans nos vies et plus particulièrement la manière dont nous y recourons. Chaque image représentait des personnes se prenant ou étant prise en photo par un tiers devant des œuvres d’art (d’une part, la Joconde et d’autre part, la Vénus de Milo). Cet échange fût l’occasion de dénoncer notre utilisation massive de la photographie : « Avant la photo on trouvait la mémoire. À présent, on photographie tout par peurd’oublier » Et, outre cette peur de l’oubli, l’image nous sert aujourd’hui à prouver de manière fiable ce qui est, ce que nous faisons voire même, et qui nous sommes : « Souvent ce qui n’est pas photographié n’existe pas » Au travers de cette affirmation, ce que Monelle Hayot tente de mettre en avant est le fait que nous ne voyons que ce que...
Juil 2, 2018 | actualité, blog etudiant, Edition, Tout l'actu |
Le jeudi 7 juin 2018, les étudiants du Master IEC ont eu le plaisir d’accueillir Coline Rouge dans le cadre d’une masterclass sur les enjeux de la diffusion et de la distribution chez les éditeurs indépendants sur le territoire français. Elle-même ancienne étudiante du master, Coline Rouge a fait son alternance chez Scope, une maison d’édition indépendante spécialisée dans le cinéma en tant que chargée de communication. Suite au Master IEC, Coline Rouge a travaillé pour une autre maison indépendante spécialisée dans le théâtre, L’Arche éditeur. Ici, elle a surtout aidé à développer la communication pour la maison, ainsi que les relations avec les libraires et les théâtres. C’est au cours cette expérience qu’elle s’est créé un nombre de contacts grâce aux salons du livre ce qui lui ont permis de travailler ensuite en tant que représentante. Son but : aider les éditeurs indépendants dans la diffusion. Pour cela, elle visait les différents espaces de diffusion, des libraires, des théâtres, des espaces culturels. Après deux ans en tant que représentante elle a constaté que la diffusion et la distribution sont deux éléments indissociables. Les notions clés Pour rentrer dans le corps du sujet, Coline Rouge a présenté les notions clés de la diffusion et la distribution. La diffusion désigne l’ensemble des opérations commerciales et marketing mises en œuvre par les éditeurs dans les différents réseaux de vente. Le réseau d’un diffuseur peut être très variable en fonction de la taille de l’éditeur ainsi que les livres concernés. Plus le catalogue est important, plus on aura besoin de représentants pour visiter les points de vente. Par ailleurs, chaque point de...
Juin 6, 2018 | actualité, blog etudiant, Interculturel, La Vie du Campus, Littérature, master iec, Stage |
… la route passe par Londres. Kabriya Coghlan a passé un semestre en M2 IEC, dans le cadre de l’échange Erasmus avec London College of Communication. Elle revient ici sur les principales choses qui l’ont surprise à l’Université de Cergy-Pontoise. Quand j’ai déménagé à Paris pour mon semestre d’échange à l’Université de Cergy-Pontoise, au sein du Master d’ingénierie éditoriale et communication, je ne savais pas à quoi m’attendre. C’était mon deuxième déménagement pour les études cette année, après Londres (Université des Arts). Je suis canadienne ; j’ai donc étudié le français à l’école primaire et secondaire au Canada. J’ai vécu à Ottawa, notre capitale, qui est bilingue. Ici, le livre a un prix unique J’avais toujours rêvé de pouvoir pratiquer le français, et cette échange universitaire m’a offert cette belle opportunité, en même temps que de belles perspectives de carrière dans l’édition, en particulier dans une contexte international – c’est ce que je souhaite faire plus tard. Ce semestre, j’ai donc fait une stage avec un “scout” basé aux États-Unis. J’ai rédigé des évaluations au sujet de livres dont on envisageait les ventes des droits étrangers. J’ai appris les différences entre les marchés internationaux du livre, comme la France, le Royaume-Uni et le Canada. J’ai ainsi découvert l’existence du prix unique du livre en France, pour la protection de la filière et pour développer le goût de la lecture. Du media training aux projets tutorés J’ai aussi aimé les cours en classe. J’ai eu la chance de participer à un cours de média training. Ce qui supposait de parler à la radio et face à la camera ! Ces exercices m’ont aidée à communiquer à différentes audiences tout...