Sep 28, 2017 | Non classé, Tout l'actu |
Le 14 septembre 2017 la première masterclass du Master IEC a eu lieu. Les étudiants ont accueilli deux personnalités du Cnap (Centre national des arts plastiques) : Marc Sanchez, directeur du pôle développement culturel, partenariats et éditions et Véronique Marrier, chef du service design graphique. L’occasion pour les intervenants d’aborder les thèmes de la recherche, du design et du graphisme et les passerelles possibles entre ces domaines. Les dépliants ont été conçus de A à Z par l’équipe de Master 2 IEC en charge de la masterclass. Dans la salle, l’atmosphère est studieuse. C’est la première masterclass de l’année et les étudiants du master prennent place, déjà intrigués par la documentation et les affiches colorées qu’ils aperçoivent près des intervenants. Marc Sanchez et Véronique Marrier captent vite l’attention du public en présentant leur lieu de travail, le Cnap. Marc Sanchez et Véronique Marrier présentent aux étudiants les missions du Cnap. Le Cnap est un établissement public du ministère de la Culture créé en 1982 qui concourt à la vitalité de la scène artistique française dans le champ des arts visuels. Il assure la gestion du patrimoine contemporain national, veille à sa présentation publique, et encourage et soutient la création dans ses différentes formes d’expression (peinture, performance, sculpture, photographie, installations, vidéo, multimédia, arts graphiques, métiers d’art, design, design graphique). Véronique Marrier explique à l’aide d’exemples visuels les travaux qui peuvent être menés au Cnap. L’histoire du Cnap remonte pourtant bien au-delà des années 1980, tout comme la mission de gestion du patrimoine contemporain qu’il s’est fixée. En effet, il est l’héritier de la Division des beaux-arts, des sciences et des spectacles...
Juin 5, 2012 | Edition |
Scénario catastrophe : vous devez sortir en urgence un quick book sur Loana alors qu’on vous offrait de faire le pont vendredi. La maquette automatique peut être la solution.
Mar 1, 2012 | Communication, Edition, Graphisme |
Pour célébrer les 50 ans de leur création, les Éditions 10/18 ont présenté en janvier dernier leur nouvelle charte graphique. Une occasion pour nous de porter un regard sur un demi-siècle d’esthétique et sur sa typographie phare : l’Helvetica.
Fév 23, 2012 | Communication, Culture, Edition, master iec |
Agence parisienne de création visuelle peu connue du grand public, Atalante intervient dans les domaines de la communication, de l’édition, de la signalétique, de la presse, de la scénographie et du multimédia. Couplant les deux secteurs pour lesquels les étudiants du Master IEC sont formés, l’agence Atalante est l’exemple par excellence d’une pluralité complexe et complète de métiers, de compétences, de savoirs et de passion. L’agence, couplée aux Éditions Xavier Barral (lui-même directeur des deux structures), porte ses missions sur le domaine culturel, avant tout parisien mais aussi au niveau national. Leur but est de servir un objectif de communication, traduire un contenu, exprimer une identité, le tout au travers de leur travail de conseil et de création, qui s’attache autant au sens qu’à l’image. Comme on le voit dans certaines de leurs créations, l’identité visuelle est la signature d’un produit, de ses qualités, activités et ambitions, qui la suit dans toute forme de communication, et se doit d’être facilement et immédiatement compréhensible, reconnaissable et mémorisable. L’exemple parfait est celui de la création du logo de la Cité de la Musique : marquant, inoubliable, il forge aujourd’hui l’image de toute une génération. Il en est de même en édition, où la clarté et la cohérence sont souvent des facteurs considérés comme liés au texte seul, et où le livre porte les valeurs de la maison, de la collection à laquelle il appartient, de son auteur… Les livres des Éditions Xavier Barral sont, eux, très ambitieux sur tous points : tant dans le contenu que graphiquement parlant. Peu connus du grand public, ces livres sont tout de même très reconnus du « métier »,...
Juin 5, 2011 | Culture, Edition |
La couverture d’un livre est déterminante dans le choix d’un ouvrage. Elle peut aussi l’être lorsque se pose la question d’offrir ou de conserver un livre. Une couverture « qui fait mal aux yeux » n’est pas du plus bel effet quand il s’agit de faire plaisir à un proche… Mais qui fait les couvertures ? Qui décide de ce qui y est représenté ? Qui représente quoi ? … Petit tour du monde des couvertures qui réchauffent la lecture ! Comme sur bien d’autres plans, les anglo-saxons dominent la discipline. Depuis maintenant des décennies, l’art de faire des couvertures de livres attractives n’a plus de secret pour eux. Ils en ont même fait un métier : book designer ! Le travail des plus talentueux de ces professionnels est visible sur leurs sites http://www.book-by-its-cover.com/; http://bookdesigners.com/ ; http://bookcoverarchive.com/) On s’aperçoit que ces créatifs ne s’imposent aucune limite, si ce n’est celles de la taille de la couverture. Sans quoi, la virtuosité et la créativité sont stupéfiantes. Toujours en accord avec le contenu de l’ouvrage, ces concepteurs artistiques du visuel du livre livrent parfois de véritables œuvres d’art. En France, rares sont les professionnels travaillant exclusivement sur ce support. On fait souvent appel à des graphistes afin d’élaborer des couvertures, mais leur travail s’inscrit le pus souvent dans une ligne graphique prédéfinie par l’éditeur et son directeur artistique. C’est en ce qui concerne les ouvrages de littérature que les anglo-saxons sont les plus audacieux. Il suffit de comparer la couverture d’un même titre, traitée par les uns et les autres, pour saisir immédiatement la frilosité des éditeurs français. En France le traitement iconographique des couvertures de livre est la...