Budapest 2019 : un voyage professionnel enrichissant

Budapest 2019 : un voyage professionnel enrichissant

Depuis maintenant 10 ans, le Master Ingénierie Éditoriale et Communication de l’Université de Cergy-Pontoise permet à ses étudiants de Master 2 de réaliser un voyage professionnel en Europe. Du 13 au 17 mai 2019, les étudiants se sont envolés pour la capitale de la Hongrie, Budapest. Au cours de ce voyage, les étudiants ont eu l’opportunité de se confronter au monde de l’édition et de la communication dans des contextes économiques et culturels différents. L’opportunité pour eux de rencontrer de nombreux professionnels : la maison d’édition Corvina Kiadó, l’Institut français de Budapest, la librairie Bestsellers, l’Université Loránd Eötvös et l’agence de communication Flow PR. L’objectif de ces rencontres ? Envisager le monde professionnel autrement. Quelques visites culturelles ont également été prévues pour que les étudiants puissent découvrir le patrimoine historique et culturel de Budapest.   Le lundi, jour de l’arrivée à Budapest, les étudiants ont profité d’une visite guidée de la ville. La guide franco-hongroise, Ditta Kausay, a proposé un itinéraire permettant d’admirer les lieux et monuments majeurs de Budapest, mais aussi de présenter l’histoire de la ville et l’unification de Buda et de Pest. De nombreuses astuces et anecdotes ont été transmises aux étudiants durant cette visite, leur assurant ainsi une bonne intégration dans la vie locale. Mardi matin, les étudiants de Master 2 ont eu rendez-vous avec László Kúnos, éditeur chez Corvina Kiadó. La rencontre a eu lieu dans le café Magveto, appartenant au groupe Lira, tout comme Corvina Kiado. Le lieu a beaucoup plu aux étudiants, notamment pour son ambiance atypique et moderne. Ce café est né avec l’idée d’avoir un endroit pour accueillir les évènements...
Pourquoi s’exiler à l’autre bout du monde n’est pas du temps perdu ?

Pourquoi s’exiler à l’autre bout du monde n’est pas du temps perdu ?

Le programme Vacances–Travail (PVT) permet aux jeunes Français de voyager dans divers pays partenaires pendant un an tout en travaillant pour financer ces vacances. Parmi ces pays, la Nouvelle-Zélande gagne en popularité. Qu’a-t-elle à offrir ? P comme tout un Programme ! Un jour, j’ai pris la décision de partir en PVT pendant un an en Nouvelle-Zélande, de vivre de petits boulots que mes études étaient censées m’éviter et de me payer des nuits sur d’inconfortables matelas d’auberges de jeunesse en écoutant ronfler dans toutes les langues. Quand j’ai annoncé ça à mon entourage, tout le monde m’a naturellement enviée. Mais voilà, comme chaque fois qu’on fait un projet, il y a un râleur pour venir casser notre bel enthousiasme. J’aurais dû le voir venir. « Mais qu’est-ce que tu vas fabriquer là-bas ? » m’a-t-on un jour lancé (la formulation était moins élégante en fait). J’en suis restée comme deux ronds de flan. Aujourd’hui, en exclusivité, je brise enfin le mutisme qui m’a frappée à ce moment-là. V pour Vendetta vacances Hé oui ! Il faut assumer le V du PVT ! La perspective de prendre des vacances, se détendre, découvrir, échanger est la principale motivation de nombres de PVTistes. Alors, que faire en Nouvelle-Zélande ? Déjà, s’en mettre plein la vue. Vous savez certainement que Le Seigneur des Anneaux ou plus récemment Le Hobbit ont été tournés dans ce pays. Dois-je vous rappeler la beauté de la Comté, du Rohan ? Les paysages sont variés : volcan, glacier, montagne, plaine, lac… et bien sûr la mer dont il est impossible de s’éloigner de plus de 120 kilomètres. Cette nature sauvage en fait d’ailleurs une destination privilégiée des...
L’E-tourisme a le vent en poupe!

L’E-tourisme a le vent en poupe!

C’est la crise, la crise…Et bien pas pour le tourisme qui représente toujours le premier secteur du commerce en ligne. En effet, on a enregistré une nouvelle hausse de 14 % des ventes sur internet sur l’année 2011 soit quelques 12 milliards d’euros, rien que cela… Pourquoi e-tourisme ? C’est l’abréviation utilisée lorsque l’on parle de tourisme électronique. D’ailleurs, la tendance ira de plus en plus de l’e-tourisme vers le m-tourisme (sur téléphones mobiles) puisqu’il paraitrait que bientôt le nombre de Smartphones et de tablettes tactiles dépassera le nombre d’ordinateurs personnels ! Les acteurs du voyage (agences de voyage, hôtels, compagnies aériennes) affirment que les nouvelles technologies vont être utilisées en sorte que la vie des voyageurs soit facilitée. On est ravis, mais concrètement ça veut dire quoi ? Réponse dans la très intéressante étude d’Amadeus, intitulée From Chaos to Collaboration : How transformative technologies will herald a new era in travel ? (Du chaos à la collaboration : comment les nouvelles technologies vont-elles inaugurer une nouvelle ère du voyage ?) Nos frustrations de voyageurs se ressemblent… Ainsi des spécialistes se sont posés la question suivante: comment rendre l’expérience touristique plus légère car moins stressante? Entre l’angoisse de l’avion retardé voire annulé, l’attente à l’aéroport (entre l’enregistrement des bagages, le contrôle de la douane, la vérification du passeport, la queue pour embarquer, celle pour descendre de l’avion, l’attente pour récupérer nos bagages, c’est un peu À la recherche du temps perdu !) ou encore le manque de repères dans un lieu inconnu (on a tous commis cette erreur de débutant consistant à terminer dans le premier bistrot venu tellement on a galéré à chercher ce fichu...
Guy Delisle, nouveau fauve d’Angoulême 2012

Guy Delisle, nouveau fauve d’Angoulême 2012

Recevoir le Fauve d’or lors du festival de la bande dessinée d’Angoulême sonne assurément comme une véritable consécration, et propulse généralement les auteurs récompensés. Ce prix, décerné depuis 1976, est en effet le plus prestigieux de la manifestation, et il est de plus connu pour favoriser des ouvrages n’ayant pas été des grands succès publics, mais plutôt des succès critiques, plus confidentiels. Cette année, c’est l’auteur québécois Guy Delisle qui a été récompensé. Une récompense méritée Lors de cette 39e édition du Festival, et sous la présidence d’Art Spiegelman, Guy Delisle, né en 1966, s’est vu remettre la petite statuette de félin doré, pour son roman graphique Chroniques de Jérusalem, paru en novembre 2011 aux éditions Delcourt. L’auteur avait été nommé trois fois lors de précédentes éditions, sans succès jusqu’à présent. Entre carnet intime et reportage Dans ce dernier ouvrage, il raconte sa vie quotidienne en tant qu’expatrié. Une habitude chez ce voyageur-bourlingueur, qui avait déjà surpris en 2003 avec le cocasse Pyongyang, contant son séjour prolongé dans la capitale de Corée du Nord. Cette fois-ci, c’est à Jérusalem qu’il s’est installé pour près d’un an et demi, suivant sa femme venue travailler en mission humanitaire. C’est sans doute cette part autobiographique, ce goût de roman d’introspection et de carnet de voyage qui a valu à cet ouvrage d’être récompensé. Faire rire pour ouvrir sur le monde Faussement naïf, à l’humour doux amer, élaboré à partir des anecdotes de la vie quotidienne, ce livre réussi à faire partager un quotidien souvent troublé et compliqué avec une légèreté salvatrice. L’humour comme moyen de détachement et d’analyse, l’humour comme ouverture sur...

Du 11 au 13 juin a lieu le 22e festival des Etonnants voyageurs à Saint-Malo, festival international qu’il n’est plus besoin de présenter. Le thème cette année « Villes mondes et les cultures urbaines »… Larges perspectives ! Plusieurs débats, lectures et cafés littéraires sont organisés dans la cité corsaire, avec plus de 250 écrivains. C’est l’occasion d’aller à la rencontre de quelques grands écrivains voyageurs : les Français Nicolas Vanier et Sylvain Tesson, l’Italien Paolo Rumiz et bien d’autres. Dimanche, la Maison des Associations vous propose deux séances cinéma avec la projection de La Cité des Roms de Frédéric Castaignede (Arturo Mio, 2008, 97’) à 10h et Moi, ma famille Rom et Woody Allen de Laura Haliliovic, (2 + 1 / Zenit Arti / Aria Viva / Rai 3, 2009, 52’) à 12h.. L’un des points forts du festival reste la grande soirée Edouard Glissant, cet immense poète du Tout Monde, auquel le festival se fait un honneur de rendre hommage dimanche à 21h à Saint-Servan pour la modique somme de 20 euros… Enfin, un peu de poésie dans ce monde de brutes : un dernier vers« pour dire le monde qui bouge à nos portes, la Tunisie, la Belgique, Haïti encore ; le monde qui envahit le monde, les mégalopoles, les grandes cités de verre ; le monde des fils du vent qui font trembler les sédentaires », ça se passe à la salle Sainte-Anne, samedi à 17h. Amis voyageurs, amis lecteurs,  bon vent ! Festival des Etonnants voyageurs (festival international du livre et du film) : 11-12-13 juin 2011....