Mar 21, 2013 | alternance, Stage |
2ème article coup de pouce pour trouver son premier emploi Etre jeune diplômé n’est pas une situation très confortable dans le contexte économique qui est le notre. Pour autant, il ne faut pas se laisser abattre! Des tas de solutions malines existent pour faciliter ses recherches. Panorama des pratiques reconnues. Recherche sur le net Internet est un allié de taille dans la recherche d’un emploi. En effet, aujourd’hui certaines entreprises organisent plus de 95% de leurs recrutements sur le net. Commencez par arroser tous les sites qui hébergent des cv en lignes! Certains recruteurs, en plus de poster leur annonce, consultent ces cvthèques. Ensuite, abonnez-vous aux newsletters et aux alertes mails des sites d’offres d’emploi. Pensez aux organismes qui peuvent vous aider comme Pôle emploi, l’AFIJ, La Cité des métiers ou encore l’APEC. Tous les matins, réservez-vous un peu de temps pour balayer ces mails. Cela fonctionne par mots clés donc pas de risque d’être noyé d’annonces qui n’ont rien à voir avec votre recherche. Autre option plus moderne, s’abonner aux comptes Twitter ou au pages Facebook des entreprises que vous convoitez. Quoi qu’il en soit, cela vous permettra toujours de suivre leur actualité. Pensez aussi à entretenir votre image sur les réseaux sociaux professionnels. Ils sont nombreux mais les plus connus sont Viadeo (pour la France) et LinkedIn (réseau international). Enfin, n’oubliez pas de faire un tour sur les moteurs de recherches pour contrôler ce qui est dit de vous. Des informations personnelles que vous ne souhaitez pas voir partager peuvent malheureusement avoir échappées à votre surveillance. Pour contre carrer ces résultats, il serait peut être intelligent de...
Mar 11, 2013 | actualité, Interculturel, master iec, Stage, Vie étudiante |
A l’heure où le gouvernement fédéral du Queensland projette d’étendre la durée du permis vacances travail (PVT) de deux ans et d’augmenter l’âge limite pour faire la demande, faisons un bref retour sur le lancement de ce projet et son succès actuel auprès des jeunes français. Tout a commencé en 2003 … L’accord intergouvernemental instituant un programme vacances travail (appelé Working Holiday Visa) entre la France et l’Australie a été conclu le 24 novembre 2003 à Canberra et est entré en vigueur le 21/02/2004. Le principe de ce programme est simple : permettre aux jeunes entre 18 et 30ans de vivre une expérience de travail à l’étranger pendant un an à raison de 6 mois au cumul, tout en voyageant. Les modalités d’obtention de ce visa d’immigration temporaire sont tout aussi simples : avoir entre 18 et 30ans au moment de la demande, être ressortissant d’un pays faisant partie de l’accord intergouvernemental du PVT, ne pas avoir déjà bénéficié de ce programme (valable qu’une seule fois) et posséder la somme de 3500€ sur son compte bancaire au moment de son arrivée sur le territoire australien. Bien que ce visa ait été instauré dans sept autres pays (Canada, Japon, Corée du Sud, Singapour, Argentine, France et Nouvelle Zélande), l’Australie reste la destination favorite des jeunes français pour cette formule vacances-travail. Mais pourquoi cette passion pour l’Oz chez les jeunes diplômés français ? Outre le climat, le mode de vie ou les paysages paradisiaques, l’Australie attire chaque année de nombreux jeunes français aussi pour sa situation économique exceptionnelle face à la crise mondiale que la plupart des pays occidentaux traversent. Forte...
Mai 30, 2012 | Edition, Littérature, Stage |
À la suite d’un stage de lecteur dans une grande maison d’édition parisienne, Bruno Migdal dresse un tableau pour le moins savoureux de ce petit monde, qui parlera à chacun de nous ! Petite pépite du paysage éditorial parue aux Éditions de la Différence le 12 janvier dernier, Petits Bonheurs de l’édition est le journal de stage de Bruno Migdal, quadragénaire et employé d’un établissement scientifique où l’édition est un mystère, qui décide soudain, par passion pour la littérature, de tenter une petite incursion dans le milieu fermé des éditeurs parisiens, juste « pour le découvrir ». Bien loin d’un rapport de stage académique, il s’agit bien là d’un journal, que l’auteur a écrit au jour le jour, du 12 janvier 2004 au 31 mars 2004, et qui décrit avec une constante ironie, le quotidien des Éditions Grasset. Si le nom de la maison n’est jamais directement cité, l’ancien stagiaire nous en donne la célèbre rue, les grands auteurs historiques et les initiales de ceux d’aujourd’hui. Des règles du jeu complexes… Pour le stagiaire, l’issue du stage est souvent connue dès le premier entretien. Ce fut du moins le cas pour notre lecteur de manuscrits. Le deal était le suivant et il fut respecté : aucun contrat à la clé, et une rémunération d’un euro de l’heure. La hiérarchie est reine, et les comportements sont visiblement régis par des règles, qui ne sont pas expliquées à ceux qui, de toute les façons, ne resteront pas : « la stratégie, la politique, la diplomatie sont choses dont le petit personnel est tenu à l’écart, le privilège d’un cercle d’initiés »....