Pourquoi choisir un master en édition et communication ? Voici 5 bonnes raisons d’intégrer le Master Ingénierie Editoriale et Communication de l’UCP

Pourquoi choisir un master en édition et communication ? Voici 5 bonnes raisons d’intégrer le Master Ingénierie Editoriale et Communication de l’UCP

La richesse du Master IEC réside dans l’alliance de deux disciplines : l’édition et la communication. En effet, un bon communicant édite des supports visuels, des brochures, journaux tout comme l’éditeur se doit de communiquer aux distributeurs, aux partenaires et journalistes pour promouvoir son activité. Découvrez pourquoi l’apprentissage simultané de l’édition et de la communication sera un vrai plus pour votre carrière.

Master Édition : Pourquoi le Master Ingénierie Éditoriale et Communication répond à toutes vos attentes !

Master Édition : Pourquoi le Master Ingénierie Éditoriale et Communication répond à toutes vos attentes !

          Qu’elles soient en province ou dans la région parisienne, nombreuses sont les universités à proposer un Master Édition. Il faut cependant savoir clairement quelles sont vos attentes et vos préférences : le numérique, la jeunesse, la commercialisation ? Découvrez dès maintenant le deuxième article de la série « Pourquoi choisir le Master Ingénierie Éditoriale et Communication ? » (2/3)               En matière de Master Édition, il est parfois difficile de s’y retrouver et de faire le bon choix. Il est alors primordial de choisir une formation complète alliant connaissances théoriques et expérience professionnelle. Ce double bagage sera un atout de taille pour votre  insertion sur le marché du travail. Retrouvez les 5 raisons pour lesquelles le Master IEC est le Master Édition qu’il vous faut :           1) Le rythme des cours Trois jours en entreprise, et deux jours à l’université. C’est l’une des originalités du Master IEC qui mise sur l’enseignement et la mise en pratique directe des connaissances, afin d’offrir un environnement opérationnel aux enseignements dispensés, par le biais de l’apprentissage et des stages. Misez sur un Master Édition axé sur l’insertion professionnelle !           2) Un balayage complet des connaissances attendues dans le monde de l’édition « Structure et enjeux de l’édition », « correction typographique », « Critères de choix éditoriaux », etc. sont des cours indispensables dans un Master Édition, ils forgent les compétences pratiques pour vous préparer au mieux à votre futur métier. Mais le Master IEC dispense aussi des cours théoriques pour en apprendre plus sur l’histoire de l’édition et cet univers qui sera bientôt le vôtre !        ...
Être étudiant étranger à l’UCP

Être étudiant étranger à l’UCP

Entrer à l’université c’est bien, mais passer plusieurs mois de son cursus à l’étranger c’est encore mieux ! Nous avons donc rencontré Suzanne et Ryus, deux étudiants de passage à l’Université de Cergy Pontoise, pour connaitre leurs avis sur le sujet, et visiblement, ils semblent plutôt satisfaits du voyage. Qui sont-ils, ces élèves venus d’ailleurs ? Comment vivent-ils leur séjour ? Par qui sont-ils épaulés ? Tant de questions qui, nourries de leur témoignages, nous aideront à mieux comprendre leur quotidien. Pour commencer, il est important de rappeler qu’il existe deux types d’étudiants étrangers : ceux que l’on dit  « en échange » (c’est-à-dire ceux qui arrivent par l’intermédiaire d’un organisme comme ERASMUS ou une Convention universitaire), et ceux qui étudient à Cergy à titre individuel (soit, tous les étudiants venus « par leurs propres moyens »). Au total, on compte environs 1 700 étudiants étrangers par an à l’UCP, et leur nombre ne cesse d’augmenter. Malgré la volonté de l’établissement de fournir les mêmes traitements pour tous, Solenn Funck, responsable des étudiants entrants en échanges, nous a confié que ceux qui s’inscrivaient individuellement devaient se confronter à plus de difficultés, notamment en ce qui concerne les démarches d’inscription, l’encadrement au jour le jour ou encore les recherches de logements. Pour les autres, tous semble marcher comme sur des roulettes, le témoignage de Ryus, californien de Los Angeles et étudiant en finances à l’UCP a de quoi convaincre plus d’un sceptique : « C’est l’une des particularités de l’université de Cergy-Pontoise : on y rencontre des étudiants incroyables mais aussi un système administratif hyper efficace. Une assistante du bureau des relations internationales nous a aidé, moi et mes amis, à...
Pénélope Bagieu, entre toile et planche

Pénélope Bagieu, entre toile et planche

Pénélope Bagieu, bloggeuse, dessinatrice de BD, chroniqueuse et moult autres activités farfelues opère sur toile et sur planche. Entre web et papier, la jeune femme ne cesse de séduire par sa fraîcheur et ses talents, nombreux ! Si vous n’avez jamais entendu parler de Pénélope Bagieu, il est plus que grand temps de vous renseigner sur la question. Jeune femme créative et polyvalente, elle évolue sur toile et sur planche (de BD s’entend) pour le plus grand bonheur de nos zygomatiques. Une demoiselle à aborder avec second degré et détente, surtout ! La bloggeuse « [S]a vie, [s]on oeuvre, l’univers, le reste. » Pénélope Bagieu n’est pas une intello snob : vous ne trouverez pas sur son blog des réflexions philosophiques vaseuses ou des théories politiques de comptoir. Sur un ton léger, sympa et coloré, elle nous raconte tout ce qu’il se passe dans sa vie, dessins persos à l’appui. Sur le ton humoristique du « vous n’en avez pas grand-chose à faire mais je vous raconte quand même » que laisse sous-entendre le nom de son blog, l’internaute est invité à assister aux grandes découvertes tout à fait routinières (enfin, presque, la demoiselle est tout de même amenée à fréquenter pas mal de coins plutôt chouettes) de la dessinatrice. A parcourir entre deux réunions super importantes ou sur le temps de votre pause déj’, juste parce que c’est sympa ! La dessinatrice de BD Version papier des illustrations de Pénélope Bagieu, la dessinatrice opère aussi sur les planches. Parmi ses œuvres et pour ne pas tomber dans l’exhaustivité, Cadavre exquis (publié en 2010 chez Gallimard), dont le ton n’a rien à voir avec les morceaux de...