De retour du Japon, des contacts pleins les poches, une ouverture à l’international…que dire de plus sur ce petit séjour d’une semaine à Osaka.

Une véritable expérience riche en rebondissements, un Master PRO qui permet de s’ouvrir aux autres, même à plusieurs milliers de kilomètres!

Le séjour d’une semaine à Osaka aura été éprouvant au niveau des horaires de travail et des visites culturelles, riche par son côté conférences de la part des professionnels à l’Université préfectoral d’Osaka.

Comme vous le savez je suis en Master « ingénierie éditorial et communication », ma « mission » lors de ce séjour était clair:

– Trouver le plus de contacts possible dans le monde de la communication et de l’édition.

Mon but premier était de pouvoir effectuer un stage dans une entreprise japonaise (pour le côté communication) ou dans une maison d’édition.

Premier désenchantement: le Japon ne possède pas de statut de « stagiaire » à proprement parlé, et oui, au Japon la notion de stage n’existe pas. Voici une première incompréhension culturelle. La deuxième est que pour être engagée dans une entreprise japonaise (ou française qui travaille avec le Japon) il faut avoir un excellent niveau en ce qui concerne le maniement de la langue japonaise…

Deuxième désenchantement: je ne parle pas (pas encore) le japonais. Il en résulte que le Japon est un pays extrêmement difficile à cerner car très codifié et que si on n’est pas initié on peut être très vite  découragé…

Mais on rebondit toujours, on s’accroche, je me suis procurée des contacts dans deux maisons d’édition à Osaka, un contact dans une maison d’édition à Tokyo, un contact à l’ambassade (Osaka): le message est clair, l’ambassade recrute notamment au service presse et au service culturel!

Une fois mon Master en poche il ne me restera plus qu’à me constituer un dossier solide en vue d’un recrutement pour un poste dans une maison d’édition au Japon ou un poste au service culturel à l’ambassade! « Y a plus qu’à… »