La dernière année d’études est bien souvent la plus éprouvante : on court du stage à la fac, de l’apprentissage à la fac, on prépare les devoirs, les power point pour les oraux, les partiels… mais on s’accroche car on en voit le bout. Oui mais justement au bout, il y a le mémoire, le fameux ! Alors entre stress et emploi du temps chargé ce n’est pas toujours simple.
Bon il faut que je dédramatise un peu, le mémoire ce n’est pas si terrible. C’est juste notre « carte d’identité » pour l’après master, pas de quoi s’affoler… ah oui et puis ça compte pas mal pour valider l’année et donc un Bac + 5…(là, la pression commence à monter).
Il faut donc trouver LE sujet. Celui qui va nous passionner et sur lequel il y aura matière à dire. Une fois que c’est trouvé, on choisi notre maitre de mémoire et après le vrai travail commence. Problématique, plan, quoi, comment… bref tout un tas de questions se bousculent dans notre tête pour aborder le mémoire.
Entre interrogations et doutes, autant dire que le mémoire nous tient en haleine pendant plusieurs mois, alors on s’entraide. On s’interroge mutuellement sur l’avancée de nos mémoires, « T’en es où, tu as commencé la rédaction ? Ah tu comptes déjà en nombre de pages… » (et là c’est un pic de stress pour ceux qui en sont toujours à compter en lignes !).
Mais ça reste un travail intéressant à faire car on peut choisir presque n’importe quel sujet. Dans la promo cette année ca va du manga au journal interne d’entreprise en passant par la presse parentale ou encore la femme dans la publicité. Autant de sujets divers et variés qui permettent à chacun de parler d’un thème qu’il affectionne particulièrement.
La tension monte d’un cran quand on reçoit ce mail : «Pour ceux qui soutiennent en juin, le mémoire est à rendre au plus tard le 10 juin ». J’en fais partie, on est début mars, dans 3 mois le mémoire doit être tout beau, tout relié et remis.
Mais d’ailleurs j’en suis où moi de mon mémoire ? Et bien pas très loin justement donc il est temps que je m’y remette !